Au creux des ruelles étroites, désertes ou battantes, résonnent l’âme de la ville et le bruissement du soin.
Au 11, rue Colonna d’Istria, le soleil perce la pierre, la lune illumine les façades. Les volutes comme des coquillages polis par les vagues, habillent mes lieux.
La kabbale, en fil ténu, infuse une mélodie : murmure de beauté voilée, de vide fécond, de réception et révélation sacrées. Elle déploie notre histoire personnelle, créant une alchimie intuitive entre obscurité et clarté.
Le kobido est la voie du visible, honorant le visage et l’éclat. La kabbale éclaire l’invisible ; elle transmet, relie. Une même quête : approcher au plus près beauté et vérité.
En symbole, Reparate, sainte venue d’orient, nous offre son nom et repose ici, dans la cathédrale.

